Le premier opus de La nuit au musée se proposait de mettre le fantastique au service d’un récit simple, un père cherchant à gagner l’estime de son fils, et c’était efficace. Le surnaturel devenait vraisemblable, les émotions, parfois simplistes, parvenaient à forcer nos réticences de spectateurs à l’émotion burinée par trop d’heures passées dans les salles obscures.
Le second épisode ne se donne pas cette peine. L’histoire est tout juste mise au service de la technologie. Peut-on d’ailleurs parler d’une histoire ? Le scénario accumule les clins d’œil historiques, du genre appuyé, en lieu et place de récit. Cela donne un inventaire, très loin de Prévert, plutôt indigeste.
La nuit au musée 2, de Shawn Levy, en salle depuis le 20 mai 2009.
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