Une boite, un tiroir, un signal d’alarme. Le principe est simple : déposez le bébé non désiré dans la boîte. Cette pratique qui semble d’un autre temps est remise au goût du jour.
Derrière cette expression surprenante, une idée simple : une « boîte », installée à l’entrée dans un hopital, d’une mairie, d’une église, est là pour recevoir les nouveau-nés abandonnés anonymement. Le parent qui dépose son enfant dans cette boîte a huit semaines pour revenir sur sa décision. Passé ce délai, l’Etat devient responsable de l’enfant. En 2000, l’Allemagne réintroduit les « boîtes à bébés ». Depuis, l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne, ont suivi. Depuis 2000, près de 400 enfants auraient été ainsi abandonnés.
Les Nations unies se sont prononcées sur leur inquiétude face à ce système. En effet, il viole le droit fondamental d’un enfant à connaître ses parents : Une fois adultes, les enfants récupérés dans ces boîtes n’ont aucun moyen d’accéder à l’identité de leurs parents. De son côté l’ONU préconise d’avantage de prévention et d’encadrement des femmes en détresse pour prévenir le recours à une boîte à bébé.
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