Une étude Québécoise révèle que les enfants qui éprouvent des problèmes de santé mentales sont plus enclins à en parler à leurs amis qu’à leurs parents.
Les enfants préoccupés par leur santé mentale seraient 50% à se tourner vers leurs amis pour en parler. C’est ce que révèle une étude RBC (organisme de sondage québécois) publiée sur le site web de l’organisme « Jeunesse, j’écoute ». Ils sont seulement 30% à en parler à leur mère, 22% à un professionnel de santé et 10% à leur père.
Les parents n’ont pas la même vision des choses : ils croient plutôt que leur enfant garderait pour lui ses inquiétudes (63%), ou en parlerait avec l’autre parent. Autre information intéressante révélée par cette étude : la moitié des parents québécois affirment n’avoir jamais discuté de la santé mentale de leur enfant avec qui que ce soit.
Or c’est bien souvent un manque de communication qui empêche de détecter les signes d’un problème mental. « Les enfants qui souffrent en silence peuvent être obnubilés par des problèmes simples qui peuvent rapidement devenir ingérables », regrette Ian Manion, psychologue en Ontario. Une recommandation : communiquer !
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