En Suède, une crèche a prit le parti de la radicalité pour aller vers l’égalité des sexes. On n’y utilise plus le « il » et le « elle », mais un pronom neutre.
Dans une crèche de Stockholm, on a adopté le « hen ». Ce pronom, ni féminin, ni masculin, règne en maître dans les livres, les chansons, le dialogue entre le personnel et les enfants. «Hen nous permet, par exemple, de parler d’un policier ou d’un astronaute, sans qu’on n’associe immédiatement la profession à un genre spécifique», explique la directrice dans un article du journal Libération. Et si la Suède est réputée pour son éducation non-sexiste, les méthodes de cette crèche n’y font pas l’unanimité. « Le personnel a même reçu un colis contenant deux poupées, une fille et un garçon, dont le sexe avait été mutilé », selon Libération.
L’idée, ici, n’est pas de nier l’existence du sexe biologique, mais de faire en sorte que les enfants ne se sentent pas limités par leur genre. De là à porter comme une norme un mot qui visiblement n’est que très peu utilisé, certains s’insurgent : Les enfants n’y perdent-ils pas leurs repères ?
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