Délirant ! Les américains vont encore plus loin dans la génétique au service de la suspicion. Maintenant il est possible pour une femme enceinte (ou un père méfiant ?) de faire un test de paternité dès 12 semaines de grossesse.
Grâce à une simple prise de sang, fondée sur l’analyse de l’ADN fœtal dans le sang maternel, et pour la modique somme de 1 625 dollars (1 130 euros), le test de paternité peut se faire dès 12 semaines de vie dans le ventre de la mère. Sans risque pour la santé du fœtus, le test serait fiable à 99,9% et les résultats disponibles dès cinq jours. Cette idée vient de la firme américaine DNA Diagnostics Center (DDC), qui se présente comme le leader des tests de paternité et autres tests génétiques dans le monde.
DDC a déjà installé 1 500 lieux de collecte des échantillons sanguins dans tous les États-Unis, et souhaitent en ouvrir prochainement à Londres. En France, par contre, la recherche de paternité par convenance personnelle est illégale. Les tests de paternité ne sont autorisés que dans certains contextes judiciaires ou médicaux. Donc, ce n’est heureusement pas pour tout de suite ! En attendant, les chercheurs américains disent avoir une explosion des demandes de tests, et affirment que c’est une innovation majeure dans ce domaine. Trop tard pour Michel Polnareff !
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