Suzanne Ellis, une Anglaise de 31 ans en est persuadée : la mort de son enfant in utero est due à la rupture de ses prothèses PIP.
Les spécialistes qui se sont occupés de Suzanne n’ont pu trouver aucune explication à la mort de son bébé. Mais la jeune femme, elle, en a une. Il aurait été « empoisonné » par le silicone industriel provenant de ses implants mammaires. Suzanne avait 26 ans quand elle est a voulu passer d’un bonnet A contre un bonnet D dans une clinique de Manchester en avril 2007. D’après elle, sa santé aurait commencé à se dégrader six mois après l’opération. Elle aurait souffert d’infections répétées aux oreilles, à la gorge et au niveau des voies respiratoires. « J’ai été malade pendant des années avant de découvrir que mes implants avaient rompu », a déclaré la jeune femme. « Si j’ai été si malade, je n’ai que peu de doute sur ce que le produit a pu faire à mon enfant. »
La rupture des prothèses mammaires PIP peuvent-elles entraîner des fausses couches ou des accouchements prématurés ? Le Dr Laurence Benouaiche, chirurgien plasticien et reconstructeur en doute : « cela paraît très peu probable ». Pour la chirurgienne, plusieurs questions se posent : y a-t-il réellement eu migration du silicone dans les tissus ? Et si oui, jusqu’où ? « Il est possible, en effet, que la rupture de la prothèse ait provoqué une inflammation des ganglions axillaires, mais aucun cas de contamination des tissus voisins de l’utérus n’a été noté ».
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