Un faible taux de vitamine D dans le sang des nouveau-nés augmenterait le risque de développer la schizophrénie.
Le risque de développer la maladie est deux fois plus élevé pour les enfants nés avec un taux insuffisant de vitamine D.
Ce constat est le fait d’une étude britannique menée par John McGrath et Darryl Eyles et publiée dans les Archives of General Psychiatry. Elle a été réalisée grâce à la banque de donnée danoise qui prélève un peu de sang de chaque nouveau-né et tient un dossier médical pour chacun des échantillons. L’étude a donc utilisé 2000 cas dont 1000 ayant développé la maladie.
La composition du sang d’un nouveau né dépend de celui de sa mère, ainsi, c’est à elle de faire attention de ne pas développer de carences. Rappelons que la vitamine D est présente dans les poissons gras mais aussi et surtout dans les rayons du soleil. D’ailleurs, les schizophrènes sont plus nombreux à être nés à la fin de l’hiver pendant lequel le soleil est plus rare.
Toutefois les études nécessitent d’être approfondies pour être confirmées.
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