Inquiétantes, insolites… 10 études inédites sur nos enfants à découvrir absolument !

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Chaque jour, chaque semaine, chaque mois… de nouvelles études sont publiées en France et à travers le monde concernant les enfants, mais aussi nous, parents ! Découvrez tantôt avec le sourire, tantôt avec inquiétude 10 études marquantes !

1- INSOLITE ! Manger ses crottes de nez serait bon pour la santé…

Scott Napper, chercheur et professeur en biochimie à l’Université de l’Ouest canadien a publié fin avril 2013 une étude pour le moins originale, mais surtout rebutante… Manger ses crottes de nez permettrait à nos défenses immunitaires de mieux contrecarrer les invasions microbiennes !

 

En effet, si le mucus nasal fait normalement barrage aux microbes tentant de rentrer dans notre nez, le manger permettrait alors d’introduire une petite partie de ces microbes et ainsi de provoquer une production d’anti-corps contre ces derniers. Manger ses crottes de nez serait alors finalement bon pour notre santé !


Alors, disputerez-vous désormais vos enfants quand vous les surprendrez le doigt dans le nez ?

 

2- ETONNANT ! Le mythe de l’enfant de « prof » meilleur que les autres s’effondre !

Annie Lasne, enseignante et formatrice, a révélé à l’occasion de sa thèse de doctorat soutenue en novembre 2012, une base statistique pour le moins étonnante ! Finalement, si les fameux « enfants de prof », souvent catalogués de « premier de la classe », réussissent un peu mieux que les autres jusqu’à la Terminale, notamment par rapport aux enfants de cadres et de professions intellectuelles supérieures.


Après le baccalauréat, c’est une autre histoire… Contre toutes attentes, ces enfants de profs se font doubler par les enfants de cadres d’entreprises. En effet, si les parents profs transmettent les bons réflexes d’apprentissages à leurs progénitures, les dirigent vers les classes de bons élèves et ont plus de temps à leur accorder que les autres, après le bas, ils sont démunis ! Ils ne connaissent en rien le monde de l’entreprise et n’ont aucun réseau !


Alors croyez-vous toujours en ce mythe ?

 

3- RASSURANT ! Plus les mères ont d’enfants, moins elles sont stressées !

Selon un sondage réalisé par le site TODAYMoms.com auprès de 7000 mamans américaines et publié début mai 2013, avoir 3 enfants, serait le nombre le plus stressant ! Dans le détail, passer de 1 à 2 serait jugé par ces mères plutôt facile, mais passer de 2 à 3 et c’est la cata ! Première théorie donnée par Janet Taylor, psychiatre new-yorkaise : Une maman n’a que 2 mains ! Et pour traverser une route par exemple, ne pas pouvoir tenir la main de chacun de ses enfants est extrêmement stressant !

 

Mais alors qu’en est-il pour celles qui en ont 4, 5 ou plus ? Devinez ? La vie est plus cool…

Ces mères apprennent tout simplement à lâcher du leste, elles deviennent plus confiantes en leurs capacités parentales.


Cela vous donnera t-il envie de faire plus de 4 enfants ?

4- INQUIÉTANT ! Les bébés nageurs seraient en danger !

En 2010, une étude publiée dans le European Respiratory Journal avait déjà mis en garde les parents de bébés nageurs, quant aux risques de développer une bronchiolite chez leurs petits. En 2013, le danger du chlore faisait une nouvelle fois débat !

 

Les désinfectants à base de chlore, utiliser pour lutter contre les infections, se transforment en dérivés toxiques une fois entrés en contact avec matières organiques (transpiration, urine…). Ainsi une exposition prolongée d’environ 30 heures de ces bébés nageurs au chlore de la piscine avant l’âge de 3 ans, entraînerait un risque accru de développer des allergies, notamment aux acariens. Dans le cas d’une exposition de plus de 60 heures, le risque serait même multiplié par 4 !


L’activité des bébés-nageurs vous tente t-elle toujours ?

5- ANGOISSANT ! Le riz serait dangereux pour nos enfants !

En mai 2013, les autorités de sécurité alimentaire danoises ont déconseillé aux parents de donner quotidiennement à leurs enfants certains produits à base de riz, tels que les gâteaux de riz, le lait de riz et les céréales au riz soufflé, en raison de leur concentration en arsenic !

 

En effet, le riz contiendrait naturellement de l’arsenic inorganique, lequel consommé quotidiennement ferait augmenter les risques de cancer, surtout chez les petits, dont la capacité à le détoxifier serait moins forte. Le Danemark a prévu de nouveaux tests sur d’autres produits à base de riz, qui devraient être publiés en juillet. Et ce pays n’est par le seul, puisque les Etats-Unis mènent en ce moment même, des analyses sur ce célèbre féculent !


Consommerez-vous encore autant de riz qu’avant ?

6- DECONCERTANT ! Plus de cas de mort subite du nourrisson chez les adeptes du co-dodo !

Une étude publiée dans la revue British Medical Journal a révélé que les nourrissons de moins de 3 mois avaient 5 fois plus de risques de décéder de la mort subite du nourrisson (MSN) en dormant dans le lit de leurs parents !

 

Si la méthode du co-sleeping a été portée aux nues ces dernières années, l’heure est grave désormais. Parmi 1472 décès par mort subite du nourrisson, 22% d’entre eux seraient survenus alors que bébé dormait dans le lit de papa et maman. Certains pays ont d’ailleurs toujours été prévenants sur le sujet en conseillant de ne pratiquer le co-sleeping qu’après les 3 mois de l’enfant. C’est le cas des Pays-Bas et des Etats-Unis.


Aujourd’hui en France, prônerons-nous encore les bienfaits du co-dodo ?

 

7- SURPRENANT ! Nos enfants seraient amnésiques jusque 3 ans!

Les travaux du Docteur Frankland présentés lors de la réunion annuelle de l’Association canadienne de neuroscience de 2013 ont de quoi nous laisser stoïques ! Selon lui, l’enfant serait amnésique jusque l’âge de 3 ans. La cause ? La partie du cerveau qui enregistre les événements en tant que souvenirs évoluerait trop rapidement les 1ères années et provoquerait alors une sorte d’amnésie infantile.

 

Au-delà de 3 ans, tout rentrerait dans l’ordre puisque les neurones se développeraient alors plus lentement. Si les travaux du Docteur Franckland méritent d’être approfondis (au-delà que sur des souriceaux), il est vrai que nos petits ont une fichue manie à oublier nos interdictions ou recommandations… Vous ne trouvez pas ?

 

8- TROUBLANT ! Les Babyphones pourraient être néfastes pour nos petits !

Une étude menée par un laboratoire de physique de l’Institut Pascal vient de publier certains constats étonnants quant à nos babyphones chéris, qui nous permettent de surveiller bébé à distance et surtout de nous rassurer en tant que parents. Selon eux, après en avoir étudié plusieurs modèles, de grosses différences de puissance d’émissions d’ondes sont à noter ! De gros écarts dus sûrement à la non-réglementation de ces appareils.

 

De plus, pour le consommateur, le niveau d’émission est impossible à connaître puisqu’il n’est est pas indiqué sur l’appareil ! En attendant une étude plus poussée, les spécialistes recommandent vivement aux parents d’éloigner le plus possible ces émetteurs de la tête de leur bébé !


Auriez-vous pensé cela de votre précieux babyphone ?

9- ALARMANT ! On ne doit plus donner de codéine aux moins de 18 ans !

Une recommandation de l’EMA (Agence Européenne du Médicament) faite aux parents fait froid dans le dos ! Elle invoque de ne plus administrer de codéine ou de médicaments et sirops contenant de la codéine aux moins de 18 ans et en particulier les plus jeunes ayant subi une ablation des végétations ou des amygdales. Ces derniers seraient exposés à des risques mortels de dépression respiratoire.

 

Il en serait de même pour les mères allaitantes et les adultes métabolisant trop vite la codéine. Une alerte d’autant plus inquiétante que la codéine est présente dans des médicaments et des sirops antitussifs en vente libre dans les pharmacies.


Lirez-vous plus attentivement les composants de vos médicaments ?

10- CURIEUX ! Certaines régions rencontrent une épidémie de puberté précoce !

Si aux Etats-unis, une étude menée sur 18000 jeunes filles annonce que la poitrine se développe désormais entre 6 et 9 ans, en France aussi, la puberté débarque parfois un peu trop précocement. Le Journal Midi Libre parle même d’«épidémie» notamment en Languedoc-Roussillon où certains services d’endocrinologie pédiatrique sont pris d’assaut par des parents et des jeunes filles abasourdis.

 

La faute en serait aux nombreux perturbateurs endocriniens d’origine environnementale : les phtalates et phénols présents dans les emballages, les produits phytosanitaires utilisés en agriculture et présents dans l’eau et l’alimentation. Ils dérégleraient l’horloge biologique de nos enfants !


Ahurissant, vous ne trouvez pas ?

La vitesse et le nombre impressionnant de publications de ce genre d’études bat son plein chaque jour ! Si certaines sont à prendre extrêmement au sérieux, d’autres sont à prendre avec le sourire, avec quelque peu de scepticisme et en tout cas suffisament de second degré.

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