À l’apparition des dents définitives, les parents craignent quant à l’alignement des dents de leurs enfants. Mais on peut bien positionner les dents qui...
Le risque de transmission du virus de la mère à l’enfant est, en cas de trithérapie, quasiment nul.
Le mode de vie et l’alimentation des parents sont déterminants même avant la conception, contre les risques d’obésité infantile.
La Fédération française de cardiologie a lancé un défi à tous les collégiens de France, réaliser un spot de prévention sur le thème « 0 cigarette, 5 fruits et légumes par jour, 60 minutes d’activité physique au quotidien ».
La journée mondiale de la contraception a eu lieu le 28 septembre. Un rapport met en avant les pratiques à risques des jeunes, en hausse depuis 2009.
En terme de mortalité infantile, la situation française est jugé « préoccupante » par la Cour des comptes. A 3,8 décès pour 1000 naissances, le taux stagne, quand ceux des voisins s'améliorent.
Boulimie, anorexie mentale : des troubles du comportement alimentaire fréquents chez les adolescents. Quand faut-il s'inquiéter de leurs déséquilibres alimentaires ?
Cette nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer a pour but de rappeler aux femmes l’importance de consulter régulièrement un gynécologue. Le Plan Cancer 2014 – 2019 prévoit de faire réaliser un frottis tous les 3 ans dès 25 ans et jusqu’à 65 ans. Pour prévenir le cancer du col de l’utérus il existe deux outils : le dépistage par frottis et la vaccination contre le papillomavirus. "La vaccination de toutes les jeunes filles, entre 11 et 14 ans (avant le début de leur vie sexuelle), permettrait d’éviter 70 % des infections persistantes, à l’origine des cancers", explique le Pr Roman Rouzier, directeur médical du pôle Sénologie et gynécologie de l’Institut Curie. Mais la diffusion de ce vaccin a été ralentie par les accusations de liens entre la vaccination et la déclaration de maladies auto-immune chez certaines jeunes filles. A l’heure actuelle, aucune étude ne montre de risque accru de maladie auto-immune (comme la sclérose en plaques) lié à cette vaccination. Le dépistage par frottis quant à lui concerne toutes les femmes, mêmes celles qui sont vaccinées. Le premier doit être réalisé à 25 ans, un second un an plus tard, puis un tous les trois ans jusqu’à 65 ans. Depuis que ce dépistage a été instauré au début des années 1980, le nombre de cancers du col a été divisé par trois. Mais 40 % des femmes ne font pas de frottis régulièrement. Selon les chiffres de l’Institut Curie, près de 3 200 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus sont diagnostiqués chaque année, la plupart pourraient être évités grâce à une meilleure prévention et un frottis régulier.